Cher ami,

Malgré tous mes efforts pour ramener votre conte, „Le Président de la Cour suprême” aux dimensions dont je dispose, je n’y ai pas réussi et me vois contraint à renoncer à le publier comme j’aurais aimé le faire.

Je ne veux pas immobiliser plus longtemps vos manuscrits et vous les retourne par ce même courrier. Je vous aurais certainement demandé de me voir, mais suis en ce moment extrêmement pris par la rédacion d’un petit ouvrage que je dois livrer à date fixe. Je vous ferai signe dès que j’en aurai fini.

En attendant, je vous prie de croire, cher ami, à mes sentiments les meilleurs.