Cher Monsieur,

C’est bien volontiers que je vous accorde l’autorisation que vous me demandez par votre lettre du 11 avril. J’estime qu’il il y lieu de faire un effort particulier pour mieux répandre l’oeuvre de Attila Jozsef en France. Toutefois, comme mon travail a été fait en collaboration avec Monsieur Ladislas Gara – étant donné que je ne connais pas le hongrois – je vous prie de vous adresser à lui pour obtenir une autorisation définitive, la mienne étant liée à la sienne.

Veuillez croise, cher Monsieur, à mes sentiments les meilleurs.

Alain Bosquet