Ma chère Ili

Nous sommes bien arrives par un temps frais et magnifique. Viens dès que tu pourras on t’attend. Mme Szilvassy te fait dire que pour l’instant il y a de la place chez elle et que si ses partens venaient avant le 1er août elle a quelquechose en vue pour toi ailleurs. Il n’y a pas de pension. Le restaurant coûte 2P.20. En tout cas elle compte sur toi. Il fait très beau, beaucoup d’arbres et en face il y a les montagnes de Badacsony etc. Nous sommes ensemble dans le jardin. Tu pourras travailler ? Ecris-nous où en est le déménagement. Le train que nous avons pris à 7hres 25 du matin est assez commode. Il faut changer à Fonyod et attendre ¾ d’heure. On est ici à 11hres ½. Mais tu feras bien si tu le prends de mettre comme nous la veille ta valise aux bagages avant 9hres du soir.

Irène et Mme Syilvassy t’embrassent, moi aussi

Je Fr.

Ilikém, most pár napja magunk vagyunk, nem tudom meddig, de ha jönnek a sógornőmék, szerzünk lakást, csak pár nappal előbb írd meg, mikor érkezel. Csókollak Margó