Mon cher François,

Je dis oui à ta pensée non seulement avec un vif plaisir, mais plein de fierté de me voir parmi ceux que tu mentionnes dans tes souvenirs.

Moi même je ne saurais préciser la date de ces quelaues lignes qui exhalent l’air de notre jeunesse.

Nous sommes très heureux de vous savoir en bonne santée et de pouvoir vous revoire !

Tous les deux nous vous embrassons toi et Irène bien affectueusement

I. Gyula