Mon cher François,

Tu m’excuses de mon retard; au moment oû tu as mis à la poste ta lettre, j’étais encore à Paris.

Infiniment heureux de te revoir à Budapest, nous trouverons encore, pour ainsi dire, beaucoup d’inédit dans nos souvenir. Tu en as oublié quelques uns, mais la reconnaissance a meilleur mémoire. Nous n’oublierons jamais ce que tu as fais pour les Hongrois dans leurs moments difficiles à supporter.

Nous vous embrassons, ma femme et moi vous deux affectueusement

Gyula