Jankovich Ferenc
Jean Rousselot met the poet, writer and translator Ferenc Jankovich in October 1956 in Budapest, as evidenced by his first letter written on his return to France.
Ferenc Jankovich was born in Székesfehérvár in 1907. He studied in Sárpentele, then in Székesfehérvár. He passed the baccalaureate in 1927, before joining Eötvös College in Budapest and obtained his degree as a professor of French and Hungarian at the University of Péter Pázmány (now Loránd Eötvös University). Between 1932 and 1934, he studied in Paris, at the Sorbonne, thanks to a scholarship from the French government and then at the École Normale Supérieure. He then worked as an assistant professor at the College of Oriental Languages. It was at this time that he published his first collection of poems. Back in Budapest, he studied at the Academy of Music for two years, before teaching in high schools. Editor, he became editor of the musical journal Magyar Dal (Hungarian Song) and collaborated between 1936-1942 with Zoltán Kodály and Zoltán Vásárhelyi. In 1939, then in 1942, he was awarded the Baumgarten Prize. Meanwhile, Ferenc Jankovich has also collaborated with the journals Nyugat (West), Válasz (Response), Kelet Népe (Eastern People) and Magyar Csillag (Hungarian star).
In the 1950s he retired. In 1955, he received the József Attila Prize; in 1956 the Kossuth Prize for the whole of his work which, in addition to poetry, includes novels and numerous translations of foreign authors, including: René or Vie de Chateaubriand by André Maurois in 1939 (one year after its publication in French), Les Enfants gâtés (The Spoiled Kids) by Philippe Hériat in 1941, Tartuffe and Le Misanthrope by Molière in 1943 and 1948, La Dame aux camélias by Alexandre Dumas fils in 1944, and Colas Breugnon by Romain Rolland in 1950. Invited by the Pen Club International in 1956, then in 1961, he took part in the International Poetry Biennial of Knokke-le-Zoute, Belgium. Ferenc Jankovich died in 1971 in Budapest.
Rousselot a fait la connaissance du poète, écrivain et traducteur Ferenc Jankovich en octobre 1956 comme le témoigne sa première lettre écrite juste après son retour en France.
Jankovich est né à Székesfehérvár en 1907. Il a étudié à Sárpentele, puis à Székesfehérvár. Il a passé le baccalauréat en 1927, après il est devenu membre du College Eötvös à Budapest et a obtenu le diplôme de professer en français-hongrois à l’Université Péter Pázmány (aujourd’hui Université Loránd Eötvös). Entre 1932–34 il était étudiant à la Sorbonne avec un bourse du gouvernement français et à l’École Normale Supérieure. Il a travaillé comme professeur adjoint au Collège des Langues Orientales. C’est ici qu’il a publié son premier recueil de poèmes. Retourné à Budapest, il a étudié à l’Académie de Musique pendant deux années, et il a enseigné aux lycées. Comme éditeur responsable de la revue de musique Magyar Dal (Chant Hongrois) il était collaborateur de Zoltán Kodály et Zoltán Vásárhelyi entre 1936–1942. En 1939, puis en 1942 il a reçu le prix Baumgarten. Il était collaburateur des revues Nyugat (Ouest), Válasz (Réponse), Kelet Népe (Peuple de l’Est), Magyar Csillag (Étoile Hongroise).
Dans les années 1950, il a retraité des activités culturelles, en tant que poète il n’a pas publié au début de ces années. Il a écrit des romans et traduit les œuvres des auteurs étrangers. En 1955, il a reçu le prix József Attila, en 1956 le Prix Kossuth pour son activité. Invité par PEN Club International en 1956, puis en 1961, il a participé à la biennal poétique Knokke-le-Zoute. Il est mort en 1971 à Budapest.
Il a adapté en hongrois entre-autre René ou la Vie de Châteaubriand par André Maurois en 1939 (un an après sa publication en français), Les Enfants gâtés par Philippe Hériat en 1941, Tartuffe et Le Misanthrope par Molière en 1943 et en 1948, La Dame aux camélias par Alexandre Dumas père en 1944, et Colas Breugnon par Romain Rolland en 1950.