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Franco-Hungarian Literary Relations

NNA052

Budapest
Date: April 1975
Language: French
Repository: Petőfi Museum of Literature
Document type: Draft
Publisher: Tüskés Anna (13-05-2017)
Folio number: 1

Cher Monsieur,

pour la première fois je voudrais vous avertir de ce qui s’est passé : <j’ai reçu> le billet d’avion est arrivé <au bureau d’Air France>, j’ai bloqué un siège sur le service d’Air France pour 20 Mai qui <arrivera> arrivée à <Paris> Orly à 17 30. J’espère recevoir mon passeport et le visa en temps voulu. J’ai reçu même votre message qui était remis par l’Institut Français, c’est-à-dire, l’aide offerte de la part de l’Institut (je ne sais pas, comment remercier pour vos soucis confraternels). Tout est en ordre, il me semble.

Il y a une seule chose qui me gène : j’ai l’impression que nos lettres se croisent. J’ai reçu et j’ai envoyé plusieurs lettre et télégrammes et j’enverrai encore s’il me semble nécessaire (des télégrammes surtout).

Quant à mes amis à Paris, je voudrais inviter à la Journée :

1.) Madame Judith Guillaume (224 rue du Mal Leclerc 94410 St. Maurice), une femme-poète hongroise ; <qui vit>

2.) Je crois bien que mes anciens connaissances, poètes français, seront invités de toutes façons par le Pen (je pense à Guillevic, André Frénaud, Jean Rousselot, et à ceux qui sont les amis de la Hongrie et des relations internationales) ;

3.) On pourrait inviter peut-être les membres d’une petite revue hongroise, son adresse : Atelier Hongrois « Magyar Műhely » 139 av. Jean-Jaurès 92120 Montrouge, France.

En vous envoyant ci-joint une petite biographie, je voudrais vous exprimer encore une fois mes remerciement pour votre aide amicale et mes salutations cordiales.

Cher {P[ierre]. E[mmanuel].|1102}

Je voudrais vous écrire deux mots seulement, les mots de mes remerciements. J’en suis convaincu que c’était vous qui m’a envoyé cette invitation à <cette> la Journée des Femmes organisée par le Pen Français, c’était vous, qui <avez> pensé aux écrivains hongrois (à moi dans ce cas). – J’espère déjà, que je puisse aller à Paris, je <recev> puisse recevoir le passeport, le billet (du Pen Français) etc ; etc ; - je ne veux pas vous ennuyer par les détails. <J’ai cho> il y a une seule chose que je ne peux pas faire : trouver une phrase, un adjectif <avec> d’un soupçon d’esprit pour vous exprimer quand-même mes sentiments d’une véritable « INVITÉE ». En espérant que vous allez comprendre mon pauvre savoir français, veuillez agréer cher {P[ierre]. E[mmanuel].|1102} l’expression de ma rec. et de mes sentim.