Mon chers Agnes et Balázs,

S’il vous plait pardonnez mon silence et croyez que nous ne vous oublions jamais, nous parlons de vous si souvent nous voudrions tant vois revoir. Heureux Richard qui va vous retrouver mi-janvier. J’étouffe de jalousie en tout cas il nous apportera des nouvelles précises de vous et des images vivantes. Nous allons assez bien – très las – y compris les enfants qui travaillent aussi beaucoup, et nous avons toujours le triste problème des vieux parents entre lesquelle nous partageons tous nos vacances. Agnes ma belle, sais-tu que dans Arions 3. Que tu nous avais apporté, manquaient les pages 156 à 169 et tes poèmes devraient être de p. 158 à 161 ! Alors j’essaie depuis de remémorer en particulier tes « arbres » si tu as una copie dactylographiée de Ekhnaton – les objets – au-dessus de l’objet et arbres – donne-la à Richard pour moi s’il te plaît. Surtout parlez-lui beaucoup de vous pour qu’il me rapporte bien des pesnées de vous. Nous vous embrassons très affectueusement

Anne

Mon cher Balazs

Comment va la coccinelle ?