Cher Monsieur Esménard,

per votre lettre du 20. I. j’apprends avec beaucoup de plaisir que le publication de mon roman aura lieu en mars. Je vous souhaite bonne chance, en espérant que vous n’aurez pas a vous plaindre d’etre entré en relations avec un écrivain si peu commode.

Quant a ma visite a Paris, je crains que mon budget plutot modeste ne pourra supporter les frais tres élevés d’un voyage et d’un séjour a Paris. D‘ailleurs vous savez combien il est difficile de se procurer ici la permission d’acheter de devises étrangères.

Agréez donc, cher Monsieur, mes meilleurs sentiments, et remettez a M. votre père aussi toutes mes salutations amicales.