[...] traduction. Votre lettre ne me laisse point douter qu’elle ne doive être excellente. J’espère bien que l’éditeur acceptera la publication intégrale du texte, où les éloges viennent balances le plus qu’il se peut les critiques. Hélas ! le procès (les procès) de Moscou et tous les derniers renseignements que j’ai pu obtenir sur la situation économique là bas, les dernières lois volées (rétablissement de l’héritage, etc) me forcent de penser que ces critiques ne sont que trop bien fondées.

Pour ce qui est des droits de traduction (que, pour ma part, je vous accorde, mais qui dépendent également de mon éditeur) veuillez vous adresser directement à Monsieur Robert Aron – Nouvelle Revue Française, à qui je parlerai d’autre part.