Mon cher Loffler,

Je viens de lire avec le plus vif plaisir une grande partie de votre belle étude sur Alexandre Petőfi. Vous avez eu une idée ercellente[ ?] en écrivant et en publiant cet ouvrage cor[ ?] on connaît mal en France (et en Belgique) la littérature hongroise. Je parlerai de votre étude dans Marginales (la revue que je derige depuis bientôt dix ans) et dans la page littéraire du Peuple (si celle-ci reparaît comme on l’a annoncé). J’essayerai de dire tout le bien que je pense de votre essai.

Je suis heureux de voir que vous n’avez pas abrusonné la littérature. Je vous enverrai dans quelques jours un exemplaire de mon dernier roman qui paraîtra vers le 15 octobre.

Merci encore, mon cher Loffler. A vous de tout mon coeur A. Ayguesparse