Monsieur le Professeur, cher Ami,

De retour à Paris, je tiens à vous dire combien j’ai été heureux d’avoir l’occasion de vous rencontrer et de reentretenir avec vous de la noble personnalité de Romain Rolland et de son oeuvre. Je pense tirer de notre entretien la matiè d’un article qui paraîtra sans doute dans le bullein de la Société des Amis de Romain Rolland. Je ne voulais pas attendre les délais du parution, car bien entendu, je ne manquerai pas de vous l’envoyer le moment venu, pour vous exprimer mes remerciements.

D’autre part, j’ai écrit à Madame Marie Romain Rolland au sujet de votre plaquette concernant les amis hongrois de Roman Rolland, qui pourrait se trouver jointe à la publication des lettres échangées entre Romain Rolland et le comte Karolyi. Dès que Madame Romain m’aura répondu, j’écrirari aux Editions Corvina à ce sujet et je ne manquerai pas de vous tenir au courant.

Si vous venez à Paris, je serais très heureux de vois revoir et de vous accueillir à la maison, et je vous demande d m’en prévenir à temps.

Veuillez agréer, Monsieur le Professeur et cher Ami, l’expression de mes sentiment très distringués.

                                    Roger Maria

Roger MARIA