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Franco-Hungarian Literary Relations

DOB024

Nice
Date: 09 December [1975?]
Language: French
Repository: Petőfi Museum of Literature
Document type: Letter written by hand
Publisher: Tüskés Anna (24-10-2017)
Folio number: 1

Mon cher Láci,

Merci de ta lettre reçue hier. Je t’envoie l’annonce de la conférence telle qu’elle a paru dans le Nice-Matin de dimanche. Il y avait du monde, assez quand on connaît Nice. Les gens étaient satisfaits. Le journaliste qui avait passer le papier dimanche est venu. Je ne sais pas s’il pourra faire passer un compte rendu. S’il y en a un je te l’enverrai. Je mets dans mon enveloppe un [?] que je te prierai de remettre à Hubay car je me méfie encore plus de [?] italienne que de la française. (Je lui avais écrit à l’adresse de l’Université). En même temps que je lui écrivais je lui envoyais les 2 textes de ma note sur sa pièce. On m’avait demandé à la rédaction de faire d’assez larges coupures dans mon 1er texte jugé trop long pour l’œuvre d’un étranger inconnu ici et [oublié ?] par Osvald. Je t’ai écrit que Madeleine Lacour quittait malheureusement la N. R. F. Rohou lui a téléphoné au sujet des notes que nous avons envoyées tous les 2 [?] lui a écrit avec beaucoup de chaleur sur le Libertinage de Nagy. Comme c’est paru dans Idées, il y a plus de chances qu’après le départ de notre amie Mme Lacour, Arland ne dorme pas dessus ou ne l’écarte pas. Espérons pour Hubay mais je ne puis plus rien garantir. Et je ne sais meme [!] pas s’il chargera quelqu’un du groupe de « leurs » poètes de parler du Rádnóti. Comme toi, je trouve qu’il fait du très bon travail.

Merci pour l’envoi du sympathique papier pour [2?]. Je l’avais lu dans le no que je reçois régulièrement aussi que les revues promis. Et [?] très gentîment [!] vient de me l’envoyer lui aussi. [?] Endre savait d’avance que ce jeune bibliothécaire avait envoyé ce texte à [?]. De toute façon j’ai à lui écrire et je lui demandera [?] qu’il sait qui [?] de lui remettre un mot de remerciement de ma part. Merci si tu  arrives à voir Erval et à obtenir quelque chose. J’ai bien peur que même si Somlyó arrive à voir Gallimard de la part de Corvina, il n’obtienne pas grand’ chose. Tu vas peut-être en savoir plus bientôt.

Mon cher Láci, je t’embrasse de tout cœur.

François