VAR047
Language: French
Repository: Petőfi Museum of Literature
Document type: Typed letter
Publisher: Tüskés Anna (18-05-2017)
Folio number: 1
Très cher ami,
De la part de ma femme et de la mienne, je trouve comme devoir vous envoyer les expressions de notre la plus reconnaissance et nos plus sincères remerciements pour votre bonté, et votre coeur – que vous avez nous montré pendat notre visite à Budapest. A vrai dire, c’étaient les seuls simpatiques moments de notre séjour.
A la maison nous sommes revenus heureusement. Pour le moment, ma femme ne touche pas le piano. C’est facile à comprendre. Vous pouvez s’imaginer qu’est-ce que c’est pour une artiste, profondement bien préparer pour un concours juste, tomber dans une fausse affaire, « bien arrangée » par eine kleine, aber abscheuliche Gesellschaft de jury. Hier, nous avons reçu une lettre de nos amies de Paris ; qui étaient en même temps à Budapest. Ils nous écrivent, que selon l’opinion musicale, racontée après notre départ, la clique de Kados n’a pas permis au meilleurs pianistes d’entrer au finales, ayant peur de perdre les chanches par ceux, qui étaient décidées au prix – bien avant. Voilà ! C’est la vérité du I Concours International Fr. Liszt ! C’est bien domage, qu’on a dépensé tant des Forrints pour faire une mauvaise propagande pour Hongrie à l’étranger. Mais, laissons ce thème. Je vous serai, seulement, très reconnaissant en recevent quelques lignes à propos cela qu’on parle en cette matière chez vous ?
Krasicki était fort content de votre lettre, il vient de vous répondre, dans quelques jours il part via Vienne pour Paris et Londre.
Je voudrais bien soutenir le contact avec vous. Cela dépend, naturellement de votre bonté, si vous allez me répondre. Peut-etre, vous avez besoin de quelque chose de Pologne – des journaux, des livres, etc. ? En cas de chaque interet – écrivez-moi. Je serai heureux en pouvoir vous aider !
Veuillez, très cher ami, accepter l’assurance de notre vraie sympathie – et continuez à me porter cette veritable amitié ; laquelle vous m’avez montré et que vous rend bien entièrement de coeur votre