Monsieur le Directeur,

Dès mon retour à Paris, je [?] à vous remercier de l’excellent accueil que vous m’avez ménagé à Budapest et de l’occasion que vous m’avez donné de parler sous les auspicès[ ?] de votre revue.

Celà a été pour moi un très grand plaisir et ce premier contact, que vous m’avez ménagé avec les milieux intellectuels hongrois me donne le désir de recommencer cette agréable et intéressante expérience.

J’espère avoir le plaisir de vous voir à Paris et je vous prie de croire à mes sentiments très cordialement dévoués.

Robert Aron