Monsieur le Professeur,

Ma femme et moi-même vous remercions très vivement de votre très aimable lettre et de vos ravissantes fleurs.

Nous formons pour votre rétablissement les voeux les plus vifs. C’est avec regret que nous quittons votre beau pays gardant le souvenir de tous ceux qui nous y ont si bien accueillis et aussi de ceux qui, comme vous, y ont consacré une existence très pleine et très riche au développement des relations amicales entre lui et la France.

Gérard Amanrich