Monsieur,

J’ai été sensible à votre télégramme. Si attentif, reçu peu avaut mon départ pour Paris où je passe les vacances de Noël.

Laissez-moi vous en remercier, et espérer, moi aussi, que nos communs efforts en faveur des relations intellectuelles franco-hongroises seront efficaces.

M. Boldizsár m’aide. & Je lui en sais gré. Dites le lui.

Nous espérons [?] abrutie l’accord culturel, et je vous saurai gré d’y consacrer l’attention qu’il mérite, à la veille de la création d’un enseignement hongrois en Sorbonne – qui a été depuis un an l’un de mes soucis essentiels.

Trouverez ici, avec mes voeux pour l’an neuf, l’assurance de mes sentiments distingués et dévoués.

R. Warnier